Le 30 juin de chaque année est la date consacrée aux réseaux sociaux. L’objectif de cette journée est de promouvoir l’impact de ces outils numériques sur la façon de communiquer des uns et des autres.
Presqu’indispensable dans le quotidien humain, il est à ce jour difficile de voir impossible de se passer des réseaux sociaux que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles. Ces outils permettent de s’amuser, de s’informer et de rester en contact avec ces proches. Pour les marques, les entreprises, les PME, les réseaux sociaux servent aussi d’espace de visibilité, un moyen rapide d’atteindre sa cible ou sa clientèle. Mais surtout les réseaux sociaux jouent un grand rôle dans la diffusion des informations, aux côtés des médias traditionnels.
En ce jour consacré a ces plateformes, c’est ici l’occasion de revenir sur la place qu’elles occupent dans la société.
Approchés par notre rédaction, quelques professionnels des médias rd-congolais reconnaissent que les réseaux sociaux sont indispensables et constituent un véritable cinquième pouvoir.
« Aujourd’hui ne pas être sur les réseaux, revient à ne pas exister. Aujourd’hui tout passe par là. Les réseaux sociaux ont révolutionné le monde tant sur le plan positif que négatif, tout dépend de l’utilisation des uns et des autres. Sans ces outils, le monde ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui », a fait savoir Barick Bwema, journaliste à la radio Top Congo.
De son côté, Jos Berry Mata, digital et social média manager, affirme qu’aujourd’hui les réseaux sociaux constituent une force véritable dans la vie actuelle. « Les réseaux sociaux prennent une grande place comparés au quatrième pouvoir qui est la presse. Aujourd’hui, ces outils semblent rafler cette place et à travers eux, l’information circule à la vitesse de la croisière », a-t-il dit.
À ce jour, le paysage des réseaux sociaux constitue un véritable écosystème. Bien que chacune de ces plateformes proposent ses règles d’utilisation cathegorisées par des tranches d’âge, ces outils sont tellement présents dans le quotidien humain qu’il est impossible de les exclure en parlant de l’internet, pourtant ce n’est qu’une partie.
GLODY NDAYA