Après avoir organisée avec brio les deux précédentes éditions, la Chambre de Commerce et d’Industrie Franco-Congolaise -CCIFC est loin d’abdiquer avec l’organisation de la Semaine Française de Kinshasa. Pour la fois consécutive, elle organisera l’événement du mercredi 1er au samedi 4 juin 2016. Et comme à l’accoutumée, c’est l’Institut Français de Kinshasa- Halle de la Kinshasa qui abritera la 3ème édition de la Semaine Française de Kinshasa. Le Président du Conseil d’Administration de la Chambre de Commerce et d’Industrie Franco-Congolaise-CCIFC, Ambroise Tshiyoyo l’a confirmé, ce vendredi 27 mai 2016, au cours d’une conférence de presse.
Selon lui, la Rd-Congo dite scandale géologique regorge d’importantes ressources naturelles. Et ceux-là, ajoute-t-il, doivent être mis en valeur grâce à la technologie, les investissements et autres que peuvent apporter la France. « L’organisation de la Semaine Française de Kinshasa marque l’excellence des relations entre la RD-Congo et la France », souligne Ambroise. Avant de soutenir que : « Ce sont les deux grands pays francophones au monde ».
Trois thématiques seront exploitées pendant la 3ème édition de la Semaine Française de Kinshasa. Il y a les infrastructures, la banque-assurance et l’emploi-formation. Des conférences-débats et échanges entre hommes d’affaires, opérateurs dans le secteur privé et autres sont prévus en marge de l’événement. Loin d’être un espace exclusivement réservé aux investisseurs, la 3ème édition de la Semaine Française de Kinshasa permettra également aux demandeurs d’emploi de rencontrer les grands employeurs.
A en croire le Vice-Président du Conseil d’Administration de la Chambre de Commerce et d’Industrie Franco-Congolaise -CCIFC, Ludovic Houssard, il est prévu, le samedi 4 juin prochain, de 12 à 14 heures, un job-dating, rencontre entre les jeunes rd-congolais chômeurs et leurs potentiels employeurs.
Signalons que chaque journée de la 3ème édition de la Semaine Française de Kinshasa sera clôturée par un concert du Festival JAZZ KIF, toujours à l’Institut Français de Kinshasa.
DEO KOKOLO