Journée internationale de la musique 2020 : L’ADACO réitère son soutien à Karmapa

Le monde entier célèbre ce jeudi 1er octobre 2020, la Journée internationale de la musique. La République démocratique du Congo, un pays aux talents musicaux incommensurables et pour la plupart inné connaît de multiples problèmes qui empêchent tous les professionnels de ce sous-secteur culturel de vivre décemment.

Parmi les derniers problèmes enregistrés, nous citons l’interdiction de diffusion dans les médias et tous les lieux publics en Rd-Congo de la chanson « Mama Yemo », la plainte de Fally Ipupa contre plusieurs sociétés commerciales et le procès d’Alesh contre la Bracongo. « En cette Journée internationale de la musique, Adaco réitère son soutien à l’artiste musicien Karmapa, à la liberté de création et à la liberté de création artistique en RDC, et condamne toute censure contre la vérité », dit la Société d’Administration des droits d’auteur au Congo –ADACO-.

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« Selon la volonté du maître violoniste Lord Yehudi Menuhin qui a participé à sa création en 1975, « un accomplissement des activités des musiciens du monde entier, et de notre pays, la RDC en particulier, visant à enrichir la connaissance de l’art musical et à renforcer les liens de paix et d’amitié qui unissent les peuples grâce à la musique », a martelé Balufu Bakupa Kanyinda -PCA de la société d’Administration des droits d’auteur au Congo -ADACO.

Œuvre décente vs Œuvre indécente. Selon l’Organisation des nations unies pour la science, l’éducation et la culture – UNESCO – la musique constitue 70% de revenus des droits d’auteur et droits voisins à travers le monde. Car, elle est le carrefour de toutes les disciplines artistiques.

Signalons qu’au pays de l’icône de la musique africaine Papa Wemba, la Fête de la musique commémorée chaque 21 juin accroche plus que cette journée du 1er octobre. Nous invitons tous les professionnels de cette discipline de s’investir pour la mise en place et le respect des textes qui les assureront et permettront aux générations futures d’être fières de pratiquer cet art d’Orphée.

DANNY KABANGA