Après le ministre rd-congolais de communication et médias, c’est au tour du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication – CSAC – de lever la voix contre l’agression organisée dans la soirée du samedi 1er avril 2023, à l’égard de son président, Christian Bosembe, en mission officielle à Paris en France.
Dans une correspondance dont une copie nous est parvenue, le bureau élargi du CSAC condamne avec la dernière énergie cette agression barbare, ignoble et indescriptible exécutée à l’égard de son président, par ceux qui se disent combattants ou bataillon populaire.
Après avoir porté plainte contre ce réseau des violents, le CSAC demande aux autorités françaises d’assurer plus de protection aux hauts responsables de la République qui séjournent en mission officielle dans ce territoire hospitalier, de rechercher activement, d’arrêter, de juger, et de sanctionner sévèrement, jusqu’au refoulement de ces professionnels du chaos qui ne sont pas à leur premier forfait.
« C’est au prix de la réparation holistique de l’approbation subie que le CSAC évaluera la bonne foi des autorités françaises« , peut-on lire dans cette correspondance.
Par ailleurs, le CSAC remercie les membres du gouvernement de la République, les organisateurs de la société civile, les défenseurs des droits de l’homme ainsi que la corporation des professionnels des médias qui ont ouvertement condamné cette agression barbare et qui ont témoigné de leur solidarité à l’endroit de Christian Bosembe.
Pour rappel, le président du CSAC a été victime des violences physiques par un groupe de combattants à Paris ou il est en mission officielle depuis le 28 mars.
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GLODY NDAYA