Ensemble des théories et techniques visant à concevoir des machines capables de stimuler l’intelligence humaine, l’intelligence artificielle est parmi les tendances technologiques qui font parler d’elles actuellement.
Très présentes de nos jours, l’intelligence artificielle améliore d’une manière significative la vie humaine. Si ailleurs ce concept est assez connu et impacte davantage, on en dira pas autant pour la Rd-Congo où on en parle à peine. Quelle est donc la perception du kinois par rapport à l’intelligence artificielle ?
Journaliste de formation et podcasteuse, Brenda Basunde donne son point de vue. « L’intelligence artificielle, nous l’utilisons tous. On a qu’à penser à la reconnaissance spatiale pour permettre une meilleure sécurité d’accès à son téléphone ou au payement mobile, elle permet de nous concentrer davantage sur les tâches créatives, plus complexes qui demandent les compétences uniquement humaines », a-t-elle déclaré.
Elle souligne qu’avec la vitesse de l’évolution, cela permet également à nous former de façon intensive et participer à certains dynamismes de la recherche. Même si elle a un côté négatif étant donné qu’elle entraîne la perte d’emploi pour des travailleurs qui exécutent ces tâches et également le risque d’être victime de piratage et de menace de sécurité qui peut entraîner des graves retombées.
Professionnel des médias, Trésor Amisi pense que l’intelligence artificielle est l’ensemble des procédés théoriques et aussi pratiques via les machines, les applications ou logiciels qui tendent à se simuler à l’intelligence humaine, c’est à dire prendre la place de la réflexion, l’agissement ou de la manière de faire de l’être humain.
« L’intelligence artificielle peut tout faire, nous qui travaillons à l’administration, il ya même des collègues qui commencent a utiliser l’intelligence artificielle pour la prise de note. L’intelligence artificielle en soit n’est pas si mauvaise », a-t-il affirmé.
Lire aussi :
Images ou vidéos générées par l’intelligence artificielle : Astuces pour détecter le vrai du faux
DÉBORAH LUBELA