La journée internationale de la liberté de la presse célébrée le 3 mai de chaque année est une date où le journaliste garde en esprit sa fierté, surtout dans la promotion de la liberté d’expression très souvent bafouée. En RDC, les autorités en ont fait leur cheval de bataille. Ce qui aura produit des conséquences progressives à la différence de ses certains voisins.
La liberté de la presse en RDC continue d’enregistrer des progrès. Un idéal dont l’appui du Président de la République, Félix Tshisekedi revêt une grande importance. Sous son régime, le seuil de tolérance connu est sans commune mesure par rapport à d’autres pays de la sous-région. Ce qui présage un avenir prometteur même si des efforts restent à consentir.
En marge de cette journée du 3 mai célébrée au Kempiski Fleuve Congo Hôtel, le ministre rd-congolais de la Communication et Médias, Patrick Muyaya, qui tient à redéfinir le paysage médiatique avec la nouvelle loi de la presse et qui aimerait que les personnes lésées par les journalistes saisissent le régulateur nommé le conseil supérieur de la Communication et de l’audiovisuel – CSAC – ou le tribunal des pairs auprès de l’auto-régulateur au sein de l’union nationale de la presse du Congo – UNPC -, a dû rappeler l’importance de défendre et de promouvoir la liberté d’expression.
Dans cette logique, Kinshasa aura permis à ses journalistes de travailler avec liberté avec un seuil de tolérance incomparable face à ses voisins.
Selon le rapport 2023 de Reporter Sans Frontières sur la liberté de la presse, la RDC occupe la 124ème place. Par ailleurs, ses pays limitrophes sont bien derrière en l’occurrence l’Angola, 125ème, le Rwanda, 131ème, l’Ouganda, 133ème et la Tanzanie, 143ème. Une preuve que la liberté de la presse en République Démocratique du Congo progresse à la différence de ses pays limitrophes où la démocratie et les libertés ne sont que des slogans.
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CHADRACK MPERENG
Credit photo à la Une : DW