Jeune styliste française d’origine rd-congolaise, Déborah Manene gère actuellement sa propre marque portant son propre nom. « Mon objectif en tant que styliste va au delà du simple fait de créer des vêtements et la création est pour moi, l’occasion d’embellir la femme » a-t-elle avancé. Déterminée d’aller plus loin avec sa passion qui est la mode, elle nous fait part de ses impressions à travers cet entretien.
Pourquoi avez-vous préféré de nommer votre marque avec votre propre nom ?
C’est mon propre choix. Je voulais tout simplement garder mon identité pour ne pas expliquer à tout moment. J’ai trouvé que garder ce nom était plus originale.
Depuis combien d’années votre ligne vestimentaire existe ?
Elle a été créée depuis 2 ans et demi. Bientôt, elle totalisera 3 ans d’existence.
En créant « Déborah Manene », quel est votre objectif ?
Mon objectif va au-delà du simple fait de créer des vêtements. La création est pour moi l’occasion d’embellir la femme et de mettre en valeur sa beauté grâce à une touche d’élégance.
Comment les congolais vivant en Rd-Congo peuvent-ils s’en a procuré ?
Pour tous ceux qui résident en Rd-Congo, ils peuvent consulter le site e-commerce qui sera bientôt en ligne.
Pour vous la mode c’est une passion ou un business ?
Je dirais tout simplement que la mode est d’abord une passion que j’ai depuis ma tendre enfance. Au fil des années, j’ai réalisé que c’est aussi un business et j’ai décidé ma propre marque.
Comment avez-vous professionnalisé cette passion ?
J’ai fait des études spécialisées en Secrétariat au lycée professionnel. Cela m’a permit d’intégrer l’école Formamod à Paris pour une formation en modélisme. Plusieurs grands noms de la mode sont aussi passés par là. Je suis fier d’avoir fait mes études là-bas.
Selon nos sources, vous avez travaillé à Chanel, Balmain, Givenchy… Qu’avez-vous bénéficié ?
Mes expériences avec ces grands noms de la mode qui sont reconnus mondialement m’ont permit de beaucoup acquérir du point de vue création et ce qui m’a motivé de créer ma propre ligne vestimentaire.
YVES DIBOKO