Énergétique et entrepreneur, Éric Yaone est ce rd-congolais déterminé à contribuer positivement à l’essor de sa Rd-Congo natale et de son Afrique, mais de tous les africains disséminés à travers la planète. Il se connecte et connecte les entrepreneurs de toutes les tailles, surtout les femmes grâce à sa plateforme KinKultur. En avril dernier, il était en tournée européenne où il a parcouru de bout en bout l’Angleterre, la Belgique et la France. Là, il avait rencontré les anciens et nouveaux partenaires de KinKultur dans le seul but de rédynamiser les contacts et de tabler sur de nouvelles perspectives. Sans ambages, il a ouvertement répondu à nos questions. (Interview).
Comment présentez-vous votre plateforme ?
KinKultur est bien plus qu’une simple plateforme de promotion en ligne. Nous sommes une communauté dynamique dédiée à soutenir et à mettre en valeur les entreprises locales et culturelles. Chez KinKultur, nous croyons en la puissance de la diversité culturelle et en l’importance de soutenir les entreprises locales.
Notre vision est de créer une plateforme dynamique où les entreprises peuvent prospérer, où les cultures peuvent se rencontrer et où les communautés peuvent s’épanouir.
En avril dernier, vous aviez effectué une tournée européenne pour le compte de votre plateforme digitale et culturelle. C’était pour quel but ?
Dans le souci de prospecter le marché européen, la plateforme KinKultur implantée aux États-unis d’Amérique, à l’Etat du Maryland, a effectué une tournée dans 3 pays à savoir : la Belgique, la France et l’Angleterre pour être plus proche de ses abonnés et découvrir les opportunités que cela peut apporter, entre autres :
– La plateforme kinKultur recherche de nouvelles opportunités commerciales : clients, partenaires ou fournisseurs potentiels ;
– Une visibilité accrue de la marque en présentant nos produits ou services à un public ciblé et élargi ;
– Établir des liens précieux avec des influenceurs de l’industrie, des leaders d’opinion et des décideurs ;
– Nouer des partenariats et collaborations ;
– Être accès à de nouveaux marchés en explorant de nouveaux marchés géographiques ou verticaux pour notre expansion ;
– Améliorer nos produits ou services en recueillant des commentaires et des informations pour affiner nos offres ;
– Augmenter nos ventes en convertissant nos nouveaux prospects en clients payants et ainsi augmentez nos revenus.
Nous vous avons vu avec vos anciens et nouveaux partenaires. Qu’est-ce que vous envisagez ensemble pour le futur ?
Pour le futur, c’est d’abord d’affermir nos relations professionnelles, fidéliser ceux qui ont déjà souscrit à nos divers activités et pourquoi pas créer des Barter (des échanges de services win-win) pour gagner le maximum d’audience et clients possibles.
Que prévoyez-vous pour les mois à venir ?
Pour les mois à venir comme d’habitude, nous prévoyons de nouveaux magazines avec les rencontres que nous avons eues, mais aussi d’autres b2b à travers l’Amérique et le monde.
En quelques phrases, quels sont vos services ?
Nous avons une expertise en stratégies et marketing digital. Nous passons de l’élaboration de votre stratégie marketing à la mise en place de votre plan de communication en passant par la création publicitaire. Nos équipes composées des commerciaux, brand strategists et créatifs sont là pour vous aider à bâtir des campagnes publicitaires qui donneront à votre marque un positionnement solide et durable dans l’esprit des consommateurs.
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KinKultur s’adresse-t-elle seulement aux congolais francophones ou à tout le peuple du monde ?
Le digital ayant aucune limite géographique, nos cibles ne sont pas réservées à un public linguistique donné, bien que nous œuvrons habituellement dans une zone francophone, mais notre challenge est surtout de mieux gagner le public anglophone de part notre localisation aux États-Unis d’Amérique, précisément à Washington DC.
Avez-vous des représentations à travers le monde ou travaillez-vous uniquement à Washington ?
Oui, nous avons deux assistantes à Kinshasa. Il s’agit de Géorgina Lanku du magazine #GEORGINAtalk -un publireportage produit par KinKultur et Euphrasie Kayembe, notre envoyée spéciale qui a été en mission dernièrement en août 2023 au Congo Brazzaville sous la Premiere Dame Antoinette Sassou Nguesso et au grand rendez-vous de la FIED, une plateforme africaine des femmes dynamiques et entrepreneuses dirigée par Djelika Yeo, une grande dame ivoirienne qui est aussi une de nos collaboratrices de KinKultur.
Nous avons aussi notre partenaire, le magazine Ici & ailleurs de madame Linda Kabombo à Kinshasa RDC. Au Burkina Faso, nous avons Laurent Soro et Aziz Belmevedire qui représentent une activité en Afrique de l’Ouest Le 72 Mix du Bazin Faso Dan Fani (activité mode et musique) ainsi que Sylviane Goulois du restaurant Yelba, un espace culturel à divers activités.
Au Canada, l’espace Afromusee très bientôt en collaboration pour ainsi dire … beaucoup de connexions et chaque partenaire représente tant soit peut notre plateforme pour finir le réseau Biso Basi & Festo en Belgqiue qui nous ont invité au Congrès des Entrepreneurs dirigé par Marie Flore Duga, Anitah Zigah et plusieurs autres dames que nous avons eu l’opportunité d’échanger avec eux en fin mars et début avril lors de leur b2b ainsi que la soirée organisée par KinKultur en collaboration avec Marie Louise Cardozo de la structure Neisher Vision.
Qu’est-ce qui vous a sensiblement marqué depuis la création de votre structure jusqu’à présent ?
Le groupe des femmes que nous encadrions dans des coachings, meetings et plusieurs autres services digitales. Le groupe Slide2lafemme qui depuis près de 4 ans est resté non seulement fidèle à notre plateforme, mais nous a ramené des trophées et beaucoup de reconnaissances, car ces femmes ont changé leur mode de travail grâce à nous.
À quand une tournée africaine où vous avez des racines et des partenaires aussi importants ?
Actuellement, je suis en pourparlers avec l’Afrique de l’Ouest (la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, le Mali…) et l’Afrique du Sud, et pas mal des pays avec qui nous avons déjà taillé de très bonnes relations. Nous attendons la matérialisation de certains contrats pour participer à divers rencontres déjà prévu cette année et l’année prochaine 2025.
Un message aux jeunes entrepreneurs de votre pays, la République Démocratique du Congo.
Aux jeunes entrepreneurs, je leur dirai de commencer d’abord dans un métier ordinaire, de cumuler des expériences administratives au sein des entreprises bien structurées et quand vous vous sentirez prêts même pas totalement, lancez-vous avec tous les risques que cela pourrai entraîner. Mais OSEZ de sortir après du quotidien d’employer ! Pour devenir autonome.
Comment vous contacter ?
Nous sommes joignables au téléphone
+1 (202) 819-9940, par e-mail :
info@kinkultur.com et sur le website : www.kinkultur.net
CINARDO KIVUILA