Reçu dans l’émission entretien de France 24, le Président ad intérim de la Confédération Africaine de Football -CAF- est revenu sur plusieurs faits lui concernant mais aussi l’instance faîtière du football africain.
Sur une probable une chasse à la sorcière compte tenu du refus de sa candidature, intransigeant, l’homme moderne répond au journaliste : « Vous connaissez mes principes, je suis très mal placé puisqu’au moment où nous parlons, je suis aussi membre du conseil de la FIFA, c’est ma candidature qui est sujet à caution ».
La CAF devra avoir une nouvelle personne à sa tête, concernant les élections le Président a.i de la CAF a rassuré de la continuité du processus de préparation des élections, tout en étant très serein, appelant de « distraction » ce que fait la direction de la commission de gouvernance, qui ne va pas l’empêcher de continuer.
En ce qui est d’une réponse de sa part sur la lettre exprimant sa non-éligibilité, l’imperturbable Constant Omari répond en insistant sur son honneur : « Ce n’est pas que je ne veux pas réagir, je vais réagir à ça, je vous le confirme. On ne peut pas saper l’honorabilité de quelqu’un, et je me suis investi pendant des années pour constituer mon honorabilité, par une simple décision entre guillemets venant d’où ? Je ne sais pas. La gestion est en train de quitter la rationalité vers une gestion Journalistique ».
Avant de finir, le président a.i de la CAF et vice-président de la FIFA a tenu à appeler à la sérénité relationnelle et éviter de faire passer certaines humeurs des uns et des autres; informant que « nous sommes partis pour des grands procès », s’il s’avère que les accusations portées sur lui et sa candidature sont fausses.
BRYAN MPUNGU (CP)