Les mélomanes de la musique chrétienne devront s’habituer désormais à écouter l’album « Likambo ya Mafuta » du frère Guellord Bosekwa. Cet opus de 11 titres riches en style faisant l’évangélisation de la parole divine, a été, officiellement, présenté, aux professionnels des médias, au cours d’une conférence de presse, la semaine dernière.
Artiste basé à Bruxelles en Belgique où il évolue au sein de la représentation de l’église « La Puissance » de l’évangéliste Kiziamina Kibila Jean-Oscar dans la Capitale européenne, Guellord Bosekwa séjourne à Kinshasa, depuis quelques semaines pour la promotion de son tout premier album « Likambo ya Mafuta ». A en croire l’artiste musicien lui-même, l’opus est une oeuvre de plus sur le marché des disques qui vient pour interpeller le peuple de Dieu par rapport à sa conduite en ce temps de la fin. « Si ce message –Likambo ya Mafuta- revient toujours dans les chansons chrétiennes, c’est parce que Dieu en insiste encore vu l’étendue et l’importance de ce message », a dit le frère Guellord Bosekwa. Dans son ministère de chantre, l’artiste affirme évoluer sous l’encadrement spirituel de son Pasteur de l’église « La Puissance à Bruxelles ». Selon lui, la parole de Dieu et l’évangile passent et passeront avant tout dans sa carrière musicale.
Sur les traces d’Alain Moloto
Loin d’être sans modèle, Guellord Bosekwo est un passionné du fondateur du groupe GAEL. Sans tergiverser, dit-il, que l’ombre d’Alain Moloto plane dans ses mélodies. « Lorsque vous écoutez la chanson A jamais par exemple, vous comprendrez que le style du frère Alain Moloto m’influence beaucoup dans mes chansons », a-t-il indiqué.
Par ailleurs, le frère Guellord Bosekwa entend entamer, après l’étape de Kinshasa, d’autres tournées promotionnelles dans d’autres pays du monde et à l’intérieur du pays. Mais seulement pour ce dernier, argue-t-il, tout dépend à la situation du pays eu égard de l’organisation des élections.
DEO KOKOLO