Déterminé à redorer l’image de la télévision en République Démocratique du Congo, le ministre Patrick Muyaya s’est prononcé sur le compte officiel du ministère de la Communication et Médias, à l’occasion de la journée mondiale de la télévision célébrée chaque 21 novembre.
« En ce 21 novembre, journée mondiale de la télévision, je suis fier de l’engagement pris lors des états généraux de la communication et des médias sur la salubrité médiatique. Je salue les efforts fournis jusque-là dans le secteur de la télévision« , a-t-il déclaré.
Contacté par notre rédaction, il a rajouté en ces mots : « Les fondations sont placées. Il nous reste encore à faire. Ensemble avec les professionnels de ce sous-secteur des médias en République Démocratique du Congo, nous aurons des télévisions viables et qui feront la promotion de la paix, de la culture et des autres valeurs positives« .
Selon les Nations Unies, la télévision reste une importante source de consommation de contenus filmés. Bien que la taille des écrans ait changé et que les gens créent, publient, diffusent et consomment des vidéos sur différentes plateformes, le nombre de foyers équipés d’un téléviseur dans le monde continue d’augmenter. L’interaction entre différentes formes de diffusion représente une excellente occasion de sensibiliser l’opinion publique aux enjeux auxquels sont confrontées nos communautés et notre planète.
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Il a profité de cette date fixée par les Nations Unies pour signaler les avancées significatives qui se sont opérées à la radio télévision nationale congolaise durant son mandat entre autres, l’acquisition de nouvels équipements, les cars de reportage et la migration vers le numérique en Full HD à la direction générale à Kinshasa.
Son souhait est de voir les stations provinciales et autres être dotées des matériels numériques pour se conformer des exigences technologiques actuelles, mais aussi la formation en continue du personnel et d’une grille de programmes qui permet à ce média audiovisuel public de demeurer le vecteur de l’unité et de la cohésion nationales.
RÉDACTION