À l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la fistule Obstétricale célébrée le 23 mai de chaque année, Vodacom Congo a effectué une descente à l’hôpital Saint Joseph de Limete à Kinshasa, pour soutenir les femmes souffrant de cette maladie.
Placée sous le thème de « Éliminer la fistule dès aujourd’hui : investir dans des soins de santé de qualité, autonomiser les communautés », cette journée vise à sensibiliser la société actuelle sur ce fléau qui frappe 2 à 3 millions de femmes dans le monde. Saisissant cette occasion, la société des télécommunications Vodacom a, à travers cet événement, présidé par sa directrice générale adjointe Pamela Ilunga, attiré l’attention des femmes sur cette anomalie dont les enjeux peuvent être fatale pour la santé.
« C’est un réel plaisir pour moi d’être parmi vous, en ce jour, pour la commémoration de la journée internationale pour l’élimination de la fistule obstétricale, qui se traduit par cet événement organisé pour soutenir les femmes souffrant de cette maladie. Cet événement prend tout son sens dès lors que nous tous ici présents, sommes conscients des enjeux fatales de cette anomalie sur la santé de la femme », a fait savoir Pamela Ilunga.
Pour se prévenir de cette maladie, Vodacom Congo estime qu’il faudrait une sensibilisation suffisante des femmes en mettant à leur disposition des outils d’informations adéquats qui leur permettraient de se prendre en charge et de contribuer au développement de leurs communautés respectives.
À cette même occasion, cet opérateur des télécoms a encouragé les femmes à visiter sa plateforme Mum & Baby qui regroupe les informations nécessaires pour la santé des mamans et des bébés. Cette application gratuite offre tous les renseignements dont aurait besoin une femme dès le début de sa grossesse jusqu’à l’évolution du bébé après l’accouchement.
Signalons que cette journée a connu la participation de plusieurs autorités notamment la vice-ministre de la santé publique, de l’hygiène et de la prévention, du représentant pays des Fonds des nations unies pour la population – UNFPA -, ainsi que du médecin directeur de l’hôpital Saint Joseph.