Contribuer au développement des communautés à travers l’éducation est l’une de missions que s’est assignée la société des télécommunications Vodacom Congo depuis sa venue en République Démocratique du Congo. Fréquemment, elle pose des gestes qui ne laissent personne indifférent. Elle a, officiellement inauguré la bibliothèque numérique de l’école des filles de Kalebuka, le vendredi 11 mars 2016, à Lubumbashi dans la province du Haut-Katanga.
Cette initiative est le fruit d’une étroite collaboration entre la fondation Georges Malaika et la fondation Vodacom Congo. « Depuis sa création, notre fondation transforme des vies en investissant massivement dans les secteurs de l’éducation, de la santé et dans le bien-être social des congolais. Et notre investissement dans le secteur de l’éducation vise à accompagner la vision du Gouvernement dans l’amélioration de la qualité de l’enseignement en République Démocratique du Congo », a souligné Anaiah Bewa –Présidente de la fondation Vodacom. De poursuivre : « Elle vise aussi à anticiper sur l’évolution de l’enseignement et de l’apprentissage que les nouvelles technologies de l’information et de la communication nous induisent ».
Convaincue que sa technologie crée le changement, la fondation Vodacom a décidé d’apporter un appui financier de plusieurs dizaines de milliers de dollars américains à la Fondation Malaika pour la construction de la bibliothèque numérique ainsi que pour la provision de la communication téléphonique et de l’internet.
Pour le leader dans le monde cellulaire, les Nouvelles Technologies de l’Information et de Communication doivent aider les populations à résoudre certains des plus grands défis humanitaires et sociaux auxquels fait face la Rd-Congo, entre autres le défi de l’accès des femmes et des jeunes filles à l’éducation, et de surcroit à une éducation de qualité. « Notre contribution d’aujourd’hui matérialise la vision de la fondation Vodacom qui est de transformer des vies par notre technologie pour un changement sociétal et un développement durable. Nous sommes impressionnés par le travail abattu par la fondation Georges Malaika, notre partenaire, au quotidien », a prononcé Anaiah Bewa –Présidente de la fondation Vodacom.
Selon la vision de Noella Coursaris Musunka –promotrice de la fondation Georges Malaika, sa structure n’a cessé de donner de la valeur aux filles des milieux défavorisés et de les outiller pour leur autonomisation et pour la réalisation de leur potentiel. C’est pourquoi, Vodacom Congo n’a pas hésité le moindre instant depuis les débuts des années 2000 à s’associer avec elle à travers un appui opérationnel à l’administration de Malaika, en communication téléphonique et internet ainsi que par la construction du terrain omnisport de l’école et, aujourd’hui, par la construction de cette bibliothèque numérique avant-gardiste et par la provision d’internet à haut débit à toute la fondation Malaika.
Fort de ces perspectives, Vodacom Congo réitère son engagement de leader dans le monde cellulaire à toujours accompagner l’innovation dans le secteur de l’éducation rd-congolais et garde sa main tendue à l’endroit de la fondation Malaika pour toute initiative avenir visant à promouvoir, intégrer et faire accéder les jeunes filles à une éducation de qualité.
« Cette bibliothèque est une opportunité inouïe que Vodacom Congo et la fondation Malaika vous offrent pour que vous preniez votre destin en mains, pour que demain vous soyez fortes d’idées et de connaissances acquises grâce à elle. Elle ne mesure que quelques mètres carré de superficie, mais celle qui étendra vos capacités illimitées pour concourir demain à des grands postes de responsabilités tant dans votre communauté que dans le monde entier », a avancé Anaiah Bewa.
De pourchasser : « C’est elle qui vous donne, dès aujourd’hui, la possibilité de devenir comme toutes les grandes dames que vous admirez, comme Maman Noella. Alors, je vous encourage de l’utiliser sans modération et d’en faire bon usage. C’est la plus grande satisfaction que vous ferez à Vodacom Congo, à tous les autres partenaires et à tous vos dévoués encadreurs de la Fondation Malaika ».
CINARDO KIVUILA