Plus qu’un moyen de communication, les réseaux sociaux semblent devenir un moyen des destructions pour les enfants.
Ayant envahi notre quotidien, il est prouvé par des chercheurs qu’ils ont un impact tout autant positif que négatif chez les adultes et surtout chez les enfants. Il semble donc nécessaire d’en tenir compte.
Bien que les réseaux sociaux offrent de nombreux avantages, comme la possibilité de s’exprimer de manière créative, des opportunités pour apprendre et la possibilité d’entrer en contact avec d’autres personnes, les réseaux sociaux peuvent également avoir un impact négatif sur les adultes et les enfants pour notre cas, tant sur le plan physique que mental.
« Il est facile de développer une dépendance, et les recherches démontrent que les élèves qui passent trop de temps sur les réseaux sociaux peuvent souffrir de troubles du sommeil, de fatigue oculaire, d’une image corporelle négative, de dépression, d’anxiété, de cyberintimidation, etc », déclare le site netsweeper.
L’usage nocturne des réseaux sociaux altère le sommeil des adolescents. Le « Fear Of Missing Out » encourage la dépendance aux réseaux sociaux. L’usage excessif des réseaux sociaux peut nuire à l’estime de soi. Le diktat de la minceur peut entraîner des troubles alimentaires à l’adolescence.
Les réseaux sociaux sont aussi, et malgré tout des lieux d’échange et de sociabilisation.En plus de ces effets soulignés par le site mon-enfant-et-les-ecrans.fr, les réseaux sociaux exposent nos enfants à une dépravation des mœurs, entre autre la vue des personnes à moitié nus, ce qui n’est pas une habitude qui reflète la culture congolaise et autres. Il y’a aussi une forte distraction qui se crée dans un pays ayant besoin des têtes bien fraîches pour son développement.
La population rd-congolaise est donc tenue de veiller sur l’utilisation des réseaux sociaux par les enfants et même distinguer lesquels sont les plus utiles dans leur portable et pour quels moments et lesquels sont les plus destructeurs .
PERSIDE BOLAMU