Pour une première, il s’est tenu une table ronde consultative sur le projet de consécration de la journée internationale de la presse écrite, ce mardi 23 novembre 2021 au siège de l’UNESCO à Kinshasa.
Organisé par l’Association Congolaise des Femmes de la Presse Écrite – ACOFEPE- en collaboration avec l’UNESCO, cet événement a eu pour objectif d’élaborer un argumentaire solide pour convaincre le gouvernement rd-congolais afin de porter le projet et l’acheminer à l’assemblée générale des Nations-Unis pour une éventuelle étude et validation.
Plusieurs experts en sciences de l’information et de la communication notamment des professeurs d’universités et journalistes ont pris part à ces assises qui consistaient à revaloriser ce support médiatique à travers cette plaidoirie de l’ACOFEPE.
Reconnaissant les mérites de ce support médiatique qu’il considère de géniteur du métier du journalisme, le professeur d’universités Jérémie Wawa estime que ceci est aussi une occasion d’honorer la presse écrite qui est en même temps le point de repère de tous les médias d’information dans leur diversité comme dans leur pluralité.
« Ça sera aussi une occasion de rendre hommage à ce qu’est la profession elle-même ainsi qu’aux chevaliers de la plume. Il s’agit donc d’une opportunité pour reconnaître les mérites des écrits de certains journalistes qui ont provoqué des changements sociaux voir politiques inscrits dans les annales de l’histoire de bon nombre des pays », rajoute-t-il.
GLODY NDAYA
