Musique : Auto-Tune, Playback, Vocodeur… ces concepts musicaux qui vous échappent

Avec l’avènement de nouvelles technologies, la musique a sans doute pris une autre dimension. Au fil du temps, les beatmakers, DJs et autres professionnels techniques de la musique n’ont certes pas remplacé les instruments, mais ces deniers facilitent le travail des artistes en leur créant des instrumentales via l’ordinateur. Un travail digital qui a du vent en poupe dans plusieurs pays du monde.

Une évolution qui marche plutôt bien dans le chef de certains chanteurs qui saisissent cette aubaine pour briller. En parallèle, d’autres s’obstinent par contre face à la technologie en gardant des valeurs traditionnelles. C’est-à-dire user toujours des instruments de musique, malgré tout.

Les chanteurs ne sont pas des cannibales et peuvent commettre moult erreurs comme lors des concerts ou pendant l’enregistrement des chansons. Pour palier à d’éventuels couacs qui puissent subvenir, la technologie a mis en place des solutions idoines. Playback, Auto-Tune, Vocodeur… vous entendez peut-être parler de ces concepts hermétiquement sans comprendre réellement ce qu’ils signifient. Nous allons vous expliquez.

1. Auto-Tune

Créé en 1996 par l’Américain Andy Hildebrand, l’Auto-Tune est selon Wikipedia, un logiciel correcteur de tonalité. C’est un logiciel correcteur de voix permettant de chanter juste. Des artistes comme Cher et T-Pain ont popularisé l’Auto-Tune.

2. Vocodeur

Le vocodeur est un appareil qui vous permet de chanter dans un micro et de traduire le timbre de votre voix en un instrument. Cet effet est largement utilisé dans la musique pop moderne ou ancienne qu’elle soit. Même s’il existait depuis les années 70 avec la musique électronique, le vocodeur est encore utilisé à nos jours par de nombreux artistes.

3. Playback

Selon toujours Wikipedia, le playback est une technique de synchronisation labiale utilisée par les chanteurs qui consiste pour eux à chanter ou jouer d’un instrument de musique sans que leur voix ou que l’instrument soit capté par un micro, en suivant à l’oreille un enregistrement de qualité diffusé par haut-parleur ou par oreillette, préalablement effectué par eux, fournissant aux auditeurs, le son qui devrait normalement être produit sur place et à l’instant même.

CHADRACK MPERENG

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