Déjà plus de 5 mois depuis que la télé réalité musicale Vodacom Best Of the Best a pris fin (le 2 août 2015) et le lauréat Useni Kapita Papy Kero est porté disparu.
Et pourtant, la tradition exige qu’un vainqueur ou une personne nouvellement nommée soit évaluée après 100 jours. Le 13 novembre 2015 est passée sans que ce jeune musicien natif de Bukavu, au Sud-Kivu ait sorti ne fusse qu’un single.
Or, le jour même au Théâtre de verdure, à l’Institut des Musées Nationaux du Congo, le comité organisateur de ce challenge avait remis à Useni Kapita, un chèque équivalent à la somme de 100.000 dollars américains, une production discographique doublée de la réalisation des clips et la promotion de l’album. Il bénéficierait de mêmes avantages que le précédent vainqueur de Vodacom BOB José Hendrix Ndelo. Pour son cas, il chanterait en featuring avec la star rd-congolaise de renommée internationale Mohombi.
L’on sait trop bien que le patron de La Clique Music est très dynamique et qu’il serait impossible qu’il bloque la roue de son côté. Notre desk se pose la question de savoir Qu’est-ce qui tarde le menu ? Toutes les personnes contactées à ce sujet s’abstiennent à répondre à notre questionnaire. Même les proches de l’artiste. L’on sait aussi que le leader dans le monde cellulaire –Vodacom Congo fait très bien les choses et que les failles ou ce retard ne viendra pas de lui.
Comme l’opinion, la rédaction de votre média qui a couvert toutes les étapes de ce concours souhaite voir l’artiste à l’œuvre avec de très bonnes stratégies de communication pour se positionner dans la sphère musicale continentale et internationale. Incessamment, Eventsrdc.com approchera Mohombi pour avoir de plus amples informations sur leur collaboration. Il est prêt à diffuser toutes les informations en rapport avec ce jeune musicien qui regorge beaucoup de talents.
Pour rappel, Kapita Useni Papy Kero était le doyen du maquis et était parmi le plus dynamique. Le représentant du Sud-Kivu, natif d’Isongo, dans la même province, est venu au monde le 26 octobre 1984. Une parfaite maitrise du chant et une longue expérience musicale ponctuée par deux albums, la direction d’un orchestre, couronnée par des distinctions personnelles et avec son orchestre sont-elles un gage de victoire pour cet adepte de la rumba et du ndombolo et, en passant, fan de JB Mpiana.
MIRIAM NZEKE