L’ancienne croyante de Cité Béthel, Eliane Bafeno et ses avocats avaient déposés une plainte contre le pasteur-musicien Moïse Mbiye pour viol, avortement forcé et dépravation des mœurs, le lundi 20 janvier 2020 au Parquet général de la Gombe, à Kinshasa. Un jour après cette accusation, Moïse avait quitté Kinshasa pour Londres afin de finaliser son prochain album « Triomphe », sans être inquiété par la justice rd-congolaise et la direction générale de migration – DGM -.
Menacés de mort depuis quelques jours, les défenseurs judiciaires de sa partenaire sexuelle, Eliane, feront appel à l’Organisation internationale de police criminelle ou Interpol pour un arrêt international de Mbiye. « Nous recevons des appels anonymes. L’un de nôtre a été touché par une balle à sa jambe gauche – Justin Lunanga, NDLR – la nuit de samedi à dimanche à son domicile par des hommes armés. Ça craint. Nos vies sont en danger. On fera appel à l’Interpol », a fait savoir Me Dolly Mwanza dans un entretien sur Top Congo FM.
Dans l’entre-temps, les anciens collaborateurs de Moïse Mbiye sont aux arrêts depuis le samedi 25 février 2020 pour avoir « volé » et « diffusé » les scandaleuses vidéos de la personne précitée sur les réseaux sociaux. Notre rédaction se réserve d’affirmer cette thèse de vol et de diffusion qui alimentent les débats ça et la. Elle s’appuiera plutôt sur les enquêtes de la justice rd-congolaise.
Par ailleurs, une vidéo nude de l’une des « partenaires sexuelles » de Moïse Mbiye a été divulguée sur les réseaux sociaux. Cette fois-ci, c’est avec Mireille Mokeni, sa chargée de communication et ancienne présentatrice de l’émission Happy Day sur Siloe TV. Selon certaines indiscrétions, la chroniqueuse musicale rd-congolaise Carine Mokonzi serait aussi passer à l’abattoir de Mbiye.
À qui devons-nous croire ? Affaire à suivre…
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MYRIAM NZEKE
