Femme très dynamique de nationalité française, Sophie Dobbels est une écrivaine, réalisatrice et directrice d’une troupe d’acteurs en France. Sa passion est la conversion des romans en court et long métrage pour les cinéastes. Elle s’intéresse le plus souvent aux romans qui évoquent la société actuelle, la condition de la femme -maltraitance et inégalités et bien d’autres maux quotidiens. Jeune française de 25 ans vivant en Bretagne, Sophie rêve de participer aux festivals de cinéma avec son innovation. Elle souhaite aussi révolutionner le 7ème art avec de nouvelles productions –films et séries puisaient des œuvres des romanciers d’hier, d’aujourd’hui et de demain.
Quel est votre vision lorsque vous adaptez un roman en court ou en long métrage ?
Ma vision est que l’évolution et l’envie de création sont constantes. C’est de savoir créer une ambiance, une douceur, une respiration, un regard, un silence et bien d’autres faits encore. Ces films approfondissent l’œuvre littéraire et ils ont pour but de vous faire voyager et de retrouver les héros de nos romans en film.
Quels sont les genres de thèmes que vous évoquez dans vos romans ?
Les thèmes que j’écris dans mes romans sont les femmes, l’esclavage moderne, la souffrance et le coaching. J’aime faire passer des messages forts et vrais sur la société d’hier et d’aujourd’hui, sur la condition de la femme, la maltraitance et l’inégalité. Chaque récit a pour but de vous expliquer ma manière de voir les troubles de notre société à travers des vies et des histoires.
En tant qu’écrivaine, comment avez-vous débuté votre carrière ?
J’ai commencé à écrire à l’âge de 10 ans et j’ai repris mes romans après un déclic en 2014. J’ai donc lancé une première commercialisation de mes œuvres et là, j’attaque la deuxième tournée, améliorée, enrichie en photos illustratrices.
D’où puisez-vous l’inspiration pour écrire vos romans ?
Mon inspiration est multiple. Je peux la définir en plusieurs éléments tels que : une saison, les relations humaines, le monde et ses inégalités, une musique ou encore un état d’esprit.
Quels sont les difficultés que vous rencontriez lors de vos tournages ?
Il y en a nombreuses dont nous sommes confrontés. Je peux citer quelques-uns tels que : les plannings de l’équipe à mettre en commun sachant que nos acteurs viennent aussi bien de Paris, de fois de Rennes ou encore d’Angers. Et bien sûr, il y a la météo dont le climat peut perturber une séance de tournage, mais en Bretagne nous avons l’habitude. Ce mauvais temps peut être un inconvénient comme une qualité.
Avez-vous des sponsors ou des mécènes qui vous soutiennent ?
J’ai plusieurs collaborateurs, aussi bien en équitation pour ce qui est du dressage des chevaux dont on utilise pour certaines scènes de mes films, et j’ai aussi des contacts qui m’aident pour le maquillage et pour les costumes des acteurs. Je bénéficie d’une aide à leurs niveaux. Nous n’avons pas de réels sponsors sur nos projets présents, mais de nombreux collaborateurs. Peut-être que nous referons appel à des sponsors pour des futures projets comme nous l’avons fait dans le passé.
Comment êtes-vous passée du statut d’écrivaine à celui de romancière ?
Je dirais juste qu’écrivaine et romancière sont tous le même statut.
YVES DIBOKO